LES COPAINS
Quand de bon matin,
Ils vont sur le terrain,
A quinze ou à treize,
Ils sont toujours à l’aise.
Pourquoi se faire du mouron,
Ils le garderont le ballon.
Et pour ne pas vous faire de peine,
Jusqu’au bout ils vous tiendront en haleine.
A Carpentras ou à Albi,
Qu’ils soient grands ou petits,
Ils joueront tour à tour
Avec tout leur amour.
Une fois le match terminé,
Tous ensembles au café,
Autour du pot de l’amitié,
Ils goûteront un repos bien mérité.
Josy de Carpentras
super ce poème Josy ,il y a des talents cachés chez toi……bisous
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Merci Mimi, depuis des heures je suis en train de mettre tout ce que j’ai écrit depuis des années ! Il y a plein d’articles à découvrir dans « ma prose ».
Bisous
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